Économie circulaire
vs
Économie linéaire

En 2015, la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte prescrit de « Lutter contre les gaspillages et promouvoir l’économie circulaire : de la conception des produits à leur recyclage« .

Nous sommes donc encouragés à changer nos habitudes pour passer d’une économie linéaire à une économie circulaire.

Cette dernière est parfois associée à la notion de troisième révolution industrielle.

L'économie linéaire c'est :

  • Extraire : puiser des ressources dans l’environnement,
  • Produire : fabriquer un produit,
  • Consommer : utiliser le produit, parfois sur une courte durée,
  • Jeter le produit fabriqué.

Ce modèle exige d’extraire de plus en plus de ressources pour satisfaire les besoins d’une population grandissante qui a tendance à consommer globalement de plus en plus.

L’économie linéaire conduit à une diminution des ressources naturelles.

L'économie circulaire c'est :

  • Créer un produit à partir de matières recyclées,
  • Utiliser le produit neuf sur une durée,
  • Allonger la durée d’usage du produit en le réutilisant en tant que produit d’occasion,
  • Recycler le produit pour en extraire les matières réutilisables.

Ce modèle limite les déchets, le gaspillage et l’exploitation des ressources naturelles.

L’économie circulaire vise à changer nos pratiques de consommation.

Électrique ou thermique ?

La voiture électrique fait partie de la famille des voitures propres. Le moteur thermique a été remplacé par un moteur 100% électrique et une batterie composée de lithium. Elle n’émet donc pas ou très peu de CO2 dans l’atmosphère.
La voiture dite thermique désigne la motorisation des véhicules : moteur essence ou diesel. Selon le type de moteur, plusieurs carburants sont utilisés : sans plomb 95 et 98, le GPL, le GNV, l’E85.

Caractéristiques d’une voiture électrique :

  • Peu ou pas du tout de CO2 rejetés dans l’atmosphère.
  • Les aides de l’État sont assez nombreuses et font baisser sensiblement le prix d’achat.
  • La voiture électrique coûte plus cher à l’achat qu’une voiture thermique, malgré les aides gouvernementales.
  • La batterie n’est pas à 100% recyclable,
  • Le temps de chargement est relativement long comparé au plein d’une voiture thermique,
  • On ne trouve pas autant de bornes de recharge que de stations essence. L’état s’engage à multiplier par 5 les points de recharge d’ici 2022.
  • Les pannes coûtent souvent plus cher en réparation : les pièces de rechange restent onéreuses.

Caractéristiques d’une voiture thermique :

  • Son prix par rapport à une voiture thermique.
  • La possibilité de faire plus de kilomètres avec un réservoir plein (par rapport à une batterie pleinement chargée).
  • La facilité de ravitaillement : le plein est fait plus rapidement et il est plus facile de trouver du carburant qu’une borne de recharge.
  • La voiture thermique pollue davantage l’environnement.
  • L’interdiction d’ici 2040 d’acheter et de vendre les voitures thermiques.
  • Le prix de l’entretien : révisions fréquentes (contrôle technique, vidange, etc.).
  • Le prix du carburant.

Quel que soit votre choix, ALGALÉ votre centre VHU vous accompagne.

Si vous optez pour l’achat d’un véhicule électrique avec l’aide financière de l’État (prime à la casse), rendez-vous sur notre page explicative pour savoir si vous êtes éligible. Si vous choisissez d’acheter une voiture thermique, vous pourrez faire appel à nous pour des pièces d’occasion de qualité si besoin.

La loi d’orientation des mobilités a été publiée au Journal Officiel le 26 décembre 2019.
Les transports sont essentiels dans notre vie quotidienne : pour se former, aller au travail ou retrouver un emploi, se soigner…
Mais aujourd’hui, la politique des transports n’est plus adaptée aux réalités du pays, aux besoins et aux attentes des citoyens, notamment ceux les plus éloignés des grandes métropoles :

  • Le manque de moyens de transport dans de nombreux territoires.
  • L’urgence environnementale et climatique.
  • Les transports vivent une révolution de l’innovation.

Les trois piliers de la loi d'orientation des mobilités

1/ Investir plus et mieux dans les transports du quotidien

  • 13,4 Md€ d’investissements de l’État dans les transports en cinq ans (2017-2022).
  • Une réorientation claire des investissements en faveur des transports du quotidien.
  • Les 3/4 des investissements sur la période 2017-2022 consacrés au mode ferroviaire.

2/ Faciliter et encourager le déploiement de nouvelles solutions pour permettre à tous de se déplacer

  • Des solutions alternatives à la voiture individuelle proposées sur 100 % du territoire par les collectivités : covoiturage, transport à la demande, navettes autonomes, etc. Pour cela 500M€ sont mobilisés par l’État sur la période 2017-2022 pour cofinancer des projets de mobilité avec les collectivités (DSIL).
  • La mobilité domicile-travail au cœur du dialogue social dans les entreprises : elle deviendra un thème obligatoire de négociation sociale pour s’assurer que les entreprises s’engagent à faciliter les trajets de leurs salariés. Cet accompagnement pourra prendre la forme d’un titre-mobilité, sur le modèle ticket restaurant.
  • Un forfait mobilité durable, jusqu’à 400 €/an pour aller au travail en covoiturage ou en vélo : les employeurs pourront contribuer aux frais de déplacement de leurs salariés par ce forfait, exonéré d’impôts et de cotisations sociales.
  • Un permis de conduire moins cher et plus rapide.
  • L’accélération du développement des solutions innovantes de mobilité.
  • La mobilité des personnes en situation de handicap facilitée, grâce à des mesures concrètes.

3/ Engager la transition vers une mobilité plus propre

L’objectif de neutralité carbone en 2050 inscrit dans la loi, conformément au Plan climat, avec une trajectoire claire : – 37,5 % d’émissions de CO2 d’ici 2030 et l’interdiction de la vente de voitures utilisant des énergies fossiles carbonées d’ici 2040.

La prime à la conversion et la possibilité de recharger partout son véhicule électrique, en multipliant par 5 d’ici 2022 les points de recharge : équipement obligatoire dans certains parkings, création d’un droit à la prise, division par plus de 2 du coût d’installation…

Un plan vélo inédit pour tripler sa part dans les déplacements.

Un plan pour faire du covoiturage une solution au quotidien, en permettant aux collectivités de subventionner les covoitureurs.

Des zones à faibles émissions pour un air plus respirable, permettant aux collectivités de limiter la circulation aux véhicules les moins polluants.

La contribution des modes les plus émetteurs au financement des mobilités : réduction de 2 centimes de l’exonération de Taxe intérieure de Consommation sur les Produits énergétiques (TICPE) pour les transporteurs routiers et écocontribution inédite du secteur aérien.

À partir du 1er novembre 2021, il sera obligatoire d'être équipé de pneus hiver ou d'avoir à disposition un dispositif antidérapant amovible.

Pourquoi ?

  • Pour limiter les embouteillages dans les zones montagneuses.
  • Pour améliorer la sécurité des usagers.

Où ? 

  • Dans 48 départements situés dans des massifs montagneux (Alpes, Corse, Massif central, Massif jurassien, Pyrénées, Massif vosgien).
  • Des panneaux indiqueront l’entrée et la sortie des zones concernées.
  • Liste des 138 villes concernées dans le Bas-Rhin cliquez ici

Qui ?

  • Les habitants des zones concernées.
  • Les véhicules de passage dans les zones concernées.
  • Les véhicules légers et utilitaires, camping-cars, poids lourds et autocars.

Quand ?

  • La loi Montagne entre en vigueur le 1er novembre 2021.
  • L’obligation couvrira la période du 1er novembre 2021 au 31 mars 2022.

Quoi ?

Pour traverser les zones concernées, il faudra :

  • Soit être équipé de 4 pneus hiver
  • Soit avoir dans son coffre des dispositifs antidérapants
  • Amovibles pour deux roues motrices (chaînes à neige métalliques ou textiles).


Les chaînes métalliques :

  • Efficaces, résistantes, elles ont une bonne tenue de route en cas de fort enneigement ou sur route verglacée.
  • Elles peuvent être difficiles à poser même si leur usage s’est simplifié au cours des dernières années.


Les chaussettes à neige :

  • Sont en textile, moins efficace que les chaînes en cas de fort enneigement. Elles sont moins chères, mais s’usent plus vite.

Pour toute demande de renseignements, contactez-nous !

Vous souhaitez en savoir plus sur notre entreprise ou sur nos services à Hoenheim, près de Strasbourg (67) ? Nous restons à votre écoute et vous assurons une réponse claire et rapide.